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Fripounette et Fripouillot

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Fripounette et Fripouillot
2 avril 2011

Nous

Je sais ce lieu en Toi où réside tout l’Univers
Je sais ce lieu en Toi qui est Amour, Paix et Vérité
Si tu es en ce lieu en Toi
Et si je suis en ce lieu en Moi
Alors Toi et Moi NOUS ne sommes qu’UN.

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6 août 2010

New Jojo

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10 juillet 2010

tao te king - 2

Dans le monde, lorsque tous les hommes ont su apprécier la beauté (morale), alors la laideur (du vice) a paru. Lorsque tous les hommes ont su apprécier le bien, alors la mal a paru. C'est pourquoi l'être et le non-être naissent l'un de l'autre.
Le difficile et le facile se produisent mutuellement.
Le long et le court se donnent mutuellement leur forme.
Le haut et le bas montrent mutuellement leur inégalité.
Les tons et la voix s'accordent mutuellement.
L'antériorité et la postériorité sont la conséquence l'une de l'autre.
De là vient que le saint homme fait son occupation du non-agir.
Il fait consister ses instructions dans le silence.
Alors tous les êtres se mettent en mouvement, et il ne leur refuse rien.
Il les produit et ne se les approprie pas.
Il les perfectionne et ne compte pas sur eux.
Ses mérites étant accomplis, il ne s'y attache pas.
Il ne s'attache pas à ses mérites ; c'est pourquoi ils ne le quittent point.

23 juin 2010

LeTao qu'on tente de saisir n'est pas lr Tao lui

LeTao qu'on tente de saisir n'est pas lr Tao lui même;
le nom qu'on veut lui donner n'est pas son nom adéquat.

Sans nom, il représente l'origine de l'univers;
avec un nom, il constitue la Mère de tous les êtres.

Par le non-être, saisissons son secret;
par l'être, abordons son accès.

Non être et être sortant d'un fond unique
ne se différencient que par leurs noms.
Ce fond unique s'appelle Obscurité.

Obscurcir cette obscurité,
voilà la porte de toute merveille.

7 juin 2010

pachelbel

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9 mai 2010

Aujourd'hui

Ce jour est un jour tout neuf        

    Ce jour est un jour tout neuf.
    Il n'a jamais existé et il n'existera jamais plus.
    Prenez donc ce jour et faites-en une échelle pour accéder à de plus hauts sommets.
    Ne permettez pas que la tombée du jour vous trouve semblable à ce que vous étiez à l'aube.
    Faites de ce jour un jour unique, mémorable.
    Enrichissez-le et, ce faisant, enrichissez-vous.
    Ce jour est un don de Dieu.
    Il n`est donc pas quelque chose d`ordinaire, de fortuit, quelque chose qui va de soi.
    Il vous est spécialement offert.
    Prenez-le entre vos mains avec un sentiment de ferveur.
   
   
 

 

      Swâmi Chidânanda

24 mars 2010

Je t’aime

Je taime

8 mars 2010

Priape

priape

surnommé "Priape au caducée", "Priape-Mercure", ou à tort "Mercure bien pourvu" : un personnage ayant la barbe et le phallus géant en érection de Priape emporte le caducée et les sandales ailées de Mercure (on a avancé que l'humour était de voir Priape voler le dieu des voleurs, mais les deux sont des dieux de la fertilité et de l'abondance). Fresque anonyme à Pompeii, entre 89 avant notre ère et 79 de notre ère. Musée Archéologique National de Naples, Italie.

6 mars 2010

Le Printemps

Au temps de Ver qu'un chacun prend plaisance
A écouter la musique accordance
Des oisillons qui par champs, à loisir,
A gergonner prennent joie et plaisir
Voyant les fleurs en verdures croissantes,
Arbres vêtus de feuilles verdoyantes,
Prendre Cérès sa robe jà couverte
Totalement de branche ou herbe verte,
Dame Nature aorner les branchettes
De prunes, noix, cerises et pommettes
Et d'autres biens qui servent de pâture
A toute humaine et fragile facture,

Le Dieu Priape, en jardins cultiveur,
Donnait aux fleurs délicate saveur,
Faisait herbette hors des boutons sortir,
Dont mettent peine amoureux s'assortir
Pour présenter à leurs dames frisquettes
Quand en secret sont dedans leurs chambrettes ;
Pan, le cornu, par forêt umbrifère,
Commençait jà ses maisons à refaire
Par froid hiver et gelée démolies,
Et les avait alors tant embellies
Que chose était par leur grande verdure,
Consolative à toute regardure ;
Les champs étaient verts comme papegay !
De quoi maint homme était joyeux et gai,
Et bien souvent aucun, par sa gaieté,
Lors d'amourette hantait l'aménité
Faisant rondeaux, chansonnette et ballades,
Dames menaient par jardins et feuillades
Et leur donnaient souvent sur le pré vert
Ou une oeillade ou un baiser couvert
Dont ils étaient résolus comme pape ;
Un autre ôtait son manteau ou sa cape
Pour faire sauts et pour bondir en l'air
A cette fin que de lui fît parler.

En ce temps-là, si propre aux amoureux,

Moi qui étais pensif et douloureux
Et qui n'avais du plaisir une goutte
Non plus que ceux que tourmente la goutte,
Vouloir me prit de ma chambre laisser
Pour un petit aller le temps passer
En un vert bois qui près de moi était,
Le plus souvent où personne n'était,

Afin que pusse un mien deuil étranger,,

Pour un petit m'ébattre et soulager.

En ce vert bois doncques m'acheminai
Et ci et là, seulet, me promenai
Dessous rameaux et branches verdelettes ;
Me promenant, pensais mille chosettes.

Michel d' AMBOISE

23 janvier 2010

Le monde est notre maison

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22 janvier 2010

La maison du bonheur!

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15 janvier 2010

Le Grand Feu

Laissons-nous embraser par le feu dévorant de l’Amour.

Sa chaleur est si douce,

Qu’elle dilate les cœurs et les fait rugir de plaisir !

Ne cherchons plus à nous sécuriser,

Car les rideaux de fer cachent la lumière,

Et la peur nous empêche de respirer le grand espace.

Laissons entrer le vent de la liberté.

Il nous secouera, nous ébranlera,

Mais les fruits mûrs, seuls, resteront accrochés à l’arbre,

Et ils seront si délicieux !

Laissons le soleil nous consumer,

Car la joie ne peut pousser que sur l’humilité.

Et c’est dans les profondes racines du réel

que nous puiserons la force de nous redresser

face à ce monde dégradé et désabusé.

Et c’est dans nos cœurs si fragiles que nous découvrirons

ce désir flamboyant d’être une simple goutte de vie,

Ce désir brûlant d’être une goutte d’immensité.

                                                                                    

                                                                                                        BM

http://richesses-du-present.coerrance.org/index.php?post/2009/01/01/Le-Grand-Feu

15 janvier 2010

Hymne à la Vie Sauvage

S'oublier dans le vent,

S'incliner sous la pluie,

Du végétal dans mes pas,

Spontanés, toujours légers.

S'abîmer dans la forêt,

Devenir terre, devenir vert,

Ramasser de l'authentique,

Cueillir du brut, de la matière qui vous renverse.

S'ouvrir le cœur, en perdre la tête,

Débusquer l'invisible, l'abondance toujours présente,

Enlacer les Dieux-vivants, chevaucher les quatre saisons,

la raison couchée par terre et

La nature comme maison.

Compagnons à demi-nus, compagnons à l'unissons,

Des paroles venues du rien, une douceur venant du cœur,

De la lumière au bout des doigts, une étoile au bout des regards,

Et du rêve en guise de chemin,

Et le présent pour confident.

BM

http://richesses-du-present.coerrance.org/index.php?post/2009/09/06/Vie-sauvage

10 janvier 2010

Fripounette et Fripouillot ???

bourricot

10 janvier 2010

Mon coeur

coeur

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